Le maire d’Adé attaqué en justice par l’association des gens du voyage
😱 C’est la polémique du moment dans les Hautes-Pyrénées ! Le maire d’Adé, une petite commune située entre Tarbes et Lourdes, est visé par une plainte de l’association nationale des gens du voyage citoyens (ANGVC) pour « discrimination et diffamation raciale ». 😱
👉 Mais pourquoi cette plainte ? Tout est parti d’un texte publié dans le bulletin municipal de juin 2023, où le maire dénonce l’occupation illégale d’un terrain par des caravanes. Il y écrit notamment : « Les gens du voyage ont décidé de s’installer sur un terrain privé sans autorisation. Ils ont dégradé les clôtures, coupé les arbres, laissé leurs déchets et leurs excréments. Ils ont fait preuve d’un manque total de respect pour les habitants et les propriétaires. Ils se croient tout permis et au-dessus des lois ». 😡
👎 Ces propos n’ont pas plu à l’ANGVC, qui a décidé de porter plainte contre le maire pour « discrimination et diffamation raciale ». Selon l’association, le maire a stigmatisé toute une communauté en utilisant des termes péjoratifs et en faisant des amalgames. L’ANGVC demande des excuses publiques et des dommages et intérêts. 😤
👍 Le maire, de son côté, se défend de toute intention raciste. Il affirme qu’il n’a fait que relater les faits et qu’il n’a visé personne en particulier. Il dit qu’il respecte les gens du voyage qui respectent les règles, mais qu’il ne tolère pas les incivilités et les nuisances. Il ajoute qu’il a reçu le soutien de nombreux habitants et élus locaux. 😎
🤔 Qui a raison dans cette affaire ? Le maire a-t-il été trop loin dans ses propos ? Les gens du voyage sont-ils victimes de discrimination ? Le tribunal devra trancher cette question délicate. En attendant, le climat est tendu à Adé, où les relations entre les riverains et les caravanes sont loin d’être au beau fixe. 😕
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