Sous la Seine : sans ce chef-d’oeuvre mythique, nous n’aurions jamais vu ce film de requins Netflix !

La boucle est bouclée ! Alors que le film de requin Sous la Seine cartonne sur Netflix depuis sa sortie le 5 juin dernier, Xavier Gens, le réalisateur du blockbuster de l'été, nous fait une révélation aussi surprenante que savoureuse. Sous la Seine Sortie : 5 juin 2024 | 1h 44min De Xavier Gens Avec


La boucle est bouclée ! Alors que le film de requin Sous la Seine cartonne sur Netflix depuis sa sortie le 5 juin dernier, Xavier Gens, le réalisateur du blockbuster de l’été, nous fait une révélation aussi surprenante que savoureuse.

Sous la Seine
Sous la Seine

Sortie : 5 juin 2024 | 1h 44min
De Xavier Gens
Avec Bérénice Bejo, Nassim Lyes, Anaïs Parello

Presse

2,0

Spectateurs

1,7

Voir sur Netflix

En revenant pour AlloCiné sur les origines de sa passion pour le cinéma, le réalisateur nous cite Les Dents de la mer de Steven Spielberg. Xavier Gens a partagé une anecdote révélatrice sur l’influence déterminante du classique de Steven Spielberg dans sa carrière. C’est à l’adolescence que Xavier Gens découvre Les Dents de la mer.

Fasciné par la manière dont le film a immédiatement suscité la peur et captivé le public, il s’est alors interrogé sur les techniques employées pour créer un tel suspense. « Le travail de Steven Spielberg est dément« , confie Gens. « Quand on découvre ce film, surtout en étant ado, il vous pose la question de comment ils ont fait. C’est le premier film où je me suis dit que je voulais savoir comment ça avait été fait. En cherchant à comprendre, ça a déclenché ma passion pour le cinéma. »

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Xavier Gens sur le tournage de Sous la Seine

Un film sous forme d’hommage

Dans Sous la Seine, Xavier Gens rend hommage à ce qui l’a inspiré tout en cherchant à se démarquer avec sa propre vision. Contrairement aux Dents de la mer, qui cachait le requin pour amplifier la peur, Gens décide de montrer la créature dans toute sa splendeur dès le début.

« Je voulais jouer sur la fascination que peut provoquer un animal« , explique-t-il. « Notre requin, c’est un mélange entre un mako et un grand blanc. On a travaillé dans le détail pour que chaque cicatrice et chaque point sur la peau racontent une histoire.« 

Cette approche, qui rend à la fois hommage à un des plus grands classiques du cinéma et qui s’en affranchit en poussant les curseurs très (très) loin, souligne le parti pris de Xavier Gens décidé à offrir un film visuellement spectaculaire tout en adressant des thèmes écologiques.

Propos recueillis par Emilie Semiramoth le 3 juin.