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Entame de tournoi correcte pour les Italiens. Les champions d’Europe en titre ont disposé de l’Albanie (2-1) pour leur entrée en matière dans la compétition. Pourtant, la Squadra Azzurra a été cueillie à froid. À la suite d’une erreur de Dimarco, Nedim Bajrami a ouvert le score après seulement 23 secondes d’une frappe puissante du droit au premier poteau de Gigio Donnarumma, surpris et impuissant (0-1, 1ère). Le but le plus rapide de l’histoire de l’Euro.
Les Intéristes sonnent la révolte pour l’Italie
Pour la plus grande joie des 50 000 Albanais présents à Dortmund. Mais la sélection entraînée par Sylvinho, ancien éphémère entraîneur de l’OL, n’a pas tenu le score bien longtemps. Rapidement, les Italiens ont pris le contrôle de la rencontre en termes de possession et d’occupation du terrain et logiquement, Alessandro Bastoni a égalisé de la tête reprenant un centre de Lorenzo Pellegrini (1-1, 11e). Le début d’un gros temps-fort des hommes de Luciano Spalletti.
Dans la foulée, c’est Nicolo Barella, un autre joueur de l’Inter Milan, qui a donné l’avantage aux Italiens d’une magnifique volée du droit depuis l’extérieur de la surface (2-1, 16e). Devant au score, les Transalpins n’ont pas relâché la pression et Gianluca Scamacca (40e) puis Pellegrini (45e+1) ont manqué le but du break avant la pause. Au retour des vestiaires, le rythme est drastiquement retombé. Les Italiens ont alors géré leur avantage pendant que les Albanais étaient eux incapables d’apporter le danger sur le but de Donnarumma, hormis en fin de match quand le gardien du PSG a repoussé une tentative de Manaj.